Gabriel Fauré

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Date de naissance:
12.05.1845
Date de décès:
04.11.1924
Durée de vie:
79
PERSON_DAYS_FROM_BIRTH:
65375
PERSON_YEARS_FROM_BIRTH:
178
PERSON_DAYS_FROM_DEATH:
36343
PERSON_YEARS_FROM_DEATH:
99
Noms supplémentaires:
Gabriels Forē, Gabriel Fauré, Габриел Форе, Габриэль Форе́, Габриэль Урбен Форе́, Gabriel Fauré, Gabriels Forē, Габриель Урбен Форе́, Gabriel Urbain Fauré, Габрієль Форе
Catégories:
Chef d'orchestre, Compositeur, Pédagogue
Nationalité:
 français
Cimetière:
Réglez cimetière

Gabriel Fauré, né à Pamiers (17 rue major) le 12 mai 1845, et mort à Paris le 4 novembre 1924, est un pianiste, organiste et compositeur français.

Élève de Saint-Saëns et de Gustave Lefèvre à l’École Niedermeyer de Paris, il est d'abord maître de chapelle de l'église de la Madeleine à Paris. Il en assure plus tard les fonctions d'organiste, titulaire du grand orgue. Il est ensuite nommé professeur de composition au Conservatoire de Paris, puis directeur de l’établissement de 1905 à 1920.

Il est l’un des plus grands musiciens français de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.

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Gabriel Fauré, né à Pamiers le 12 mai 1845 et mort à Paris le 4 novembre 1924, est un pianiste, organiste et compositeur français.

Élève de Saint-Saëns et Gustave Lefèvre à l’École Niedermeyer de Paris, il est d’abord organiste à l’église de la Madeleine à Paris. Il est ensuite professeur de composition au Conservatoire de Paris, puis directeur de l’établissement de 1905 à 1920.

Il est l’un des grands musiciens français de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.

Biographie

Gabriel Fauré est le fils de Toussaint-Honoré Fauré, instituteur à Pamiers, puis directeur de l’école, et de Marie-Antoinette-Hélène Lalène-Laprade. Très jeune, il est placé chez une nourrice, puis, à l’âge de neuf ans, il quitte la maison familiale de Pamiers, dans l’Ariège, et part pour Paris étudier à l’École Niedermeyer, école de musique classique et religieuse, qui formait alors des organistes d’église et des chefs de chœur et des maîtres de chapelle. Il y étudie onze années avec plusieurs musiciens de premier plan, dont Camille Saint-Saëns qui lui présente la musique des compositeurs contemporains de l’époque (Robert Schumann, Franz Liszt) et son directeur Gustave Lefèvre.

 

Portrait (photographie) de Gabriel Fauré, vers 1860

Portrait (photographie) de Gabriel Fauré, vers 1860

 

En 1870, Fauré s’engage dans l’armée et prend part aux combats pour lever le Siège de Paris lors de la Guerre franco-prussienne. Pendant la Commune de Paris, il demeure à Rambouillet et en Suisse, où il enseigne à l’École Niedermeyer qui y avait été déplacée. Il retourne à Paris en octobre 1871 et devient organiste de chœur à l’église Saint-Sulpice tout en participant régulièrement au salon de Saint-Saëns et de la célèbre chanteuse Pauline Garcia-Viardot. Il y rencontre les principaux musiciens parisiens de l’époque et forme avec eux la Société nationale de musique.

En 1874, Fauré arrête de travailler à Saint-Sulpice et remplace Saint-Saëns, qui est souvent absent, à l’église de la Madeleine. Quand Théodore Dubois devient titulaire du grand orgue en 1877, Fauré devient maître de chapelle (chef de chœur). À la même époque, il se fiance avec Marianne Viardot, la fille de Pauline, mais ces fiançailles sont rompues par Marianne à la fin octobre. Malheureux, il voyage à Weimar, où il rencontre Liszt, et à Cologne pour y assister aux productions des Nibelungen de Richard Wagner. Fauré admire Wagner, mais il est aussi un des rares compositeurs de sa génération à ne pas tomber sous son influence.

Pendant sa jeunesse, Fauré était très heureux, mais la rupture de ses fiançailles, et ce qu’il perçoit comme un manque de reconnaissance musicale le mènent à la dépression, qu’il qualifie de « spleen ».

 

Marie Fremiet, épouse de Gabriel Fauré

Marie Fremiet, épouse de Gabriel Fauré

 

En 1883, Fauré épouse Marie Frémiet (fille du sculpteur Emmanuel Frémiet), avec qui il aura deux fils. Pour subvenir aux besoins de sa famille, il assure les services quotidiens à l’église de la Madeleine et donne des leçons de piano et d’harmonie. C’est seulement durant l’été qu’il prend le temps de composer. Il gagne peu d’argent de ses compositions. Durant cette période, il écrit plusieurs œuvres importantes, de nombreuses pièces pour piano et des mélodies, mais les détruit pour la plupart après quelques présentations et n’en retient que quelques mouvements pour en réutiliser les motifs.

Dans les années 1890, la chance lui sourit. Il voyage à Venise, où il rencontre des amis et écrit plusieurs œuvres. En 1892, il devient inspecteur des conservatoires de musique en province, ce qui signifie qu’il n’a plus à enseigner à des étudiants amateurs. En 1896, il est nommé organiste en chef à l’église de la Madeleine et succède à Jules Massenet comme professeur de composition au Conservatoire de Paris. Il enseigne alors à de grands compositeurs comme Georges Enesco et Maurice Ravel, ou encore à Nadia Boulanger. Sa situation financière devient meilleure et sa réputation de compositeur s’affirme. En 1899, vraisemblablement dans le projet d'écrire Prométhée pour le Théâtre des Arènes, surement à Béziers pour appréhender les conditions de représentation des œuvres, Gabriel Fauré seconde Camille Saint-Saëns pour la reprise de Déjanire (créée en 1898) et sera appelé à diriger la seconde représentation de 1899.

 

Portrait de Gabriel Fauré vers 1900, peint par Ernest Laurent

Portrait de Gabriel Fauré vers 1900, peint par Ernest Laurent

 

De 1903 à 1921, Fauré est critique au Figaro.

En 1905, il succède à Théodore Dubois comme directeur du Conservatoire de Paris. Aussitôt, il devient un véritable « tyran» ; il procède à de nombreux changements, rétablit la discipline et apporte du sérieux à un enseignement qui avait beaucoup vieilli. Cette attitude intransigeante lui est d’ailleurs reprochée. Dans le même temps, Fauré doit faire face, à partir de 1903, à une surdité presque totale, handicap qui pourtant n’entrava en rien sa carrière.

Fauré est élu à l’Institut de France en 1909. Il rompt alors avec la vieille Société nationale de musique.

Sa responsabilité au Conservatoire, combinée à sa perte d’audition, font que la production de Fauré est grandement réduite. Pendant la Première Guerre mondiale, il reste en France. En 1920, à 75 ans, il prend sa retraite du Conservatoire. Il reçoit la même année la Grand-croix de la Légion d'honneur ( Notice no LH/940/44), une distinction encore rare pour un musicien. Sa santé est fragile, en partie en raison d’une consommation excessive de tabac. Malgré cela, il reste à l’écoute des jeunes compositeurs, en particulier les membres du groupe des Six.

Gabriel Fauré est mort de pneumonie à Paris le 4 novembre 1924. Des funérailles nationales eurent lieu à l’église de la Madeleine. Il est inhumé au cimetière de Passy à Paris. Une plaque commémorative est posée sur sa maison au 32, rue des Vignes

Il fut un des musiciens longuement étudiés par le philosophe Vladimir Jankélévitch (1903-1985).

Musique

Les œuvres de Fauré se distinguent par la finesse de leur mélodie ainsi que par l’équilibre de leur composition. Le langage harmonique de Gabriel Fauré reste de nos jours étudié dans les conservatoires. C’est un style d’écriture à part entière, présentant de nombreuses idées originales. Si Gabriel Fauré est reconnu pour son génie harmonique, il est en outre considéré comme le maître de la mélodie française.

Une œuvre d’intériorité

Gabriel Fauré s’intéresse manifestement davantage à l’idée musicale qu’à l’orchestration. Ainsi, il laisse près d’une centaine de mélodies, et un répertoire conséquent en matière de musique de chambre et de salon. Mais seulement une dizaine de pièces pour orchestre, notamment destinées au théâtre. Celles-ci comptent de grandes réussites (Pelléas et Mélisande pour ne citer qu’elle), mais leur orchestration reste plutôt classique et, de manière générale, les formations adoptées par Gabriel Fauré n’apportent pas de grandes innovations de timbres (il n’utilise pratiquement jamais d’instruments à vent dans sa musique de chambre, par exemple).

Le message fauréen est en effet tout en intimité, en intériorité et tend vers la pureté de l’idée musicale. Ceci l’amène à se détourner des grands effets parfois prisés de son époque, telles les audaces orchestrales de Wagner, Debussy ou Stravinsky (voir Citation plus bas). Si la musique de Fauré n’exclut pas des accents romantiques et des violences passagères (notamment dans sa Fantaisie), cet aspect « intérieur » de sa musique s’est accentué avec l’âge, notamment dans les œuvres de la fin de sa vie, qui font preuve d’un « ascétisme » musical qui a dérouté, en son temps et même aujourd’hui, ses adeptes comme ses détracteurs.

Du fait de ce classicisme d’apparence, l’originalité du message fauréen a pu parfois être mal comprise.

Influences

 

Gabriel Fauré, peint à l’huile par John Singer Sargent vers 1889 (Musée de la musique Paris)

 

Ses œuvres vont du pur classicisme – lorsqu’au début de sa carrière, il imite le style de Haydn et Mendelssohn – au romantisme, pour aboutir à une esthétique du XXe siècle. Elles sont basées sur une profonde assimilation des structures harmoniques qu’il avait apprises, à l’École Niedermeyer, de son professeur Gustave Lefèvre, qui a écrit en 1889 un Traité d’harmonie. Cet ouvrage présente une théorie de l’harmonie sensiblement différente de la théorie classique de Jean-Philippe Rameau : les accords de septième et de neuvième n’y sont plus considérés comme dissonants et la quinte peut être altérée sans changer le mode. Ainsi, avant même de découvrir la musique romantique de son temps, le jeune Gabriel Fauré a d’abord suivi un enseignement dans le cadre de l’école Niedermeyer qui laissait une large place à la musique religieuse et aux modes d’église. Cette influence essentielle contribue à l’originalité de l’écriture fauréenne par rapport aux compositeurs de son temps et se retrouve tout au long de son œuvre, tant par l’usage d’enchaînements harmoniques modaux que par l’écriture de lignes mélodiques à l’ambitus réduit et sans grandes ruptures d’intervalle qui dénotent l’influence du chant grégorien, notamment dans ses mélodies ou encore dans son deuxième quintette pour cordes et piano. En opposition avec son style harmonique et mélodique très novateur à cette époque, les subtils motifs rythmiques sont répétitifs, avec des modulations similaires à celles que l’on peut trouver dans la musique de Brahms. Ainsi, Fauré sous-tend souvent sa ligne mélodique par un flux continu qui divise ses œuvres en grandes courbes dynamiques. Ceci est surtout perceptible dans ses mélodies ou encore ses œuvres pour piano (Nocturnes et Barcarolles).

Ces dernières font en effet usage d’arpèges et d’une mélodie entremêlée des deux mains, avec des substitutions de doigtés, naturelles chez l’organiste, mais dont l’interprétation est parfois difficile pour le pianiste. Son œuvre pianistique en général n’est pas sans rappeler certaines pièces de Schumann ou Chopin, compositeurs que Camille Saint-Saëns avait fait découvrir au jeune Gabriel Fauré.

Enfin, Gabriel Fauré n’ignorait pas la musique de Richard Wagner dont l’aura était considérable à la fin du XIXe siècle dans les milieux culturels européens. S’étant rendu au festival de Bayreuth, il avait composé avec André Messager une pièce pour piano à quatre mains intitulée Souvenirs de Bayreuth pastichant les principaux thèmes de la Tétralogie. L’influence de Wagner sur la musique de Fauré est d’autant plus discrète que leur tempérament diffère, mais elle reste sensible dans certaines pièces, telles que le Prélude de Pelléas et Mélisande ou l’introduction de Tendresse de la suite Dolly. La Pavane (1887) de Gabriel Fauré a inspiré une belle adaptation, celle du pianiste de jazz Bill Evans (1929-1980).

Évolutions

 

Portrait (photographie) de Gabriel Fauré, par Pierre Choumoff

Portrait (photographie) de Gabriel Fauré, par Pierre Choumoff

 

On décrit souvent l’évolution de Gabriel Fauré en distinguant dans son œuvre trois périodes (ou manières).

La première période s’étend jusqu’en 1890 et comprend certaines de ses œuvres les plus connues telles que la mélodie Après un rêve ou son Élégie pour violoncelle et piano. La Sicilienne issue de sa suite Pelléas et Mélisande se rattache également à cette première manière. Celle-ci se caractérise par l’influence des musiques allemandes et italiennes et par un certain classicisme.

On fait généralement débuter la seconde période de Fauré des Mélodies de Venise (1891) au début du XXe siècle. Elle se caractérise par une grande finesse harmonique, un sens de la sensualité et de nombreuses audaces harmoniques (dans Shylock par exemple).

La troisième période comprend les cycles de mélodies de la fin de la vie de Fauré (La Chanson d'Ève (1910), Mirages (1919) ou encore L’Horizon chimérique (1921)). On y range également son deuxième quintette en ut mineur (1921) ou encore son quatuor à cordes en mi mineur (1924). Cette période est contemporaine des problèmes de surdité qui affectent Gabriel Fauré. On a souvent expliqué de cette manière l'évolution de la musique de Fauré, caractéristique de cette troisième manière, vers un plus grand dépouillement, un plus grand statisme, jusqu’à devenir parfois comme immatérielle.

Cette « troisième manière » est sans doute la plus sujette à controverse et la moins bien connue. Certains la considèrent comme une période d’aridité et de déclin, tandis que d’autres y voient le génial aboutissement d’une quête musicale qui ne doit rien aux évolutions de son temps.

Si pratique qu’elle soit pour décrire l’évolution fauréenne, cette subdivision n’a rien d’absolu, d’autant que ces « périodes » se chevauchent parfois dans le temps. Ainsi la Sérénade pour violoncelle et piano se classe dans la troisième période par sa date de composition (1908), mais se rattache par son style plutôt à la première manière.

Œuvres principales

 
  • piano : Valses-Caprices, Impromptus, Nocturnes, Barcarolles, Préludes, Pièces brèves, Thème et Variations, la suite Dolly, Ballade pour piano et orchestre (1879), 2 versions : piano et orchestre et piano seul, Fantaisie (1898) pour piano et orchestre
  • œuvres vocales :
    • Mélodies : pour voix seule (et duos) avec accompagnement de piano
    • Cantique de Jean Racine
    • Messe de Requiem Op. 48 (1887)

 

Extrait du manuscrit du Requiem de Fauré. Mesures 4–7 de l’Introït et du Kyrie

Extrait du manuscrit du Requiem de Fauré. Mesures 4–7 de l’Introït et du Kyrie

 

    • Pénélope : opéra en trois actes, livret de René Fauchois (1913)
  • musiques de scène et musique symphonique : Pavane (1887), Caligula (1889), Prométhée (création le dimanche 26 août 1900 au Théâtre des Arènes, à Béziers), Shylock (1889), Pelléas et Mélisande (1898), Masques et Bergamasques (1919)
  • musique de chambre :
    • Sonate pour violon et piano nº 1
    • Sonate pour violon et piano nº 2
    • Sonate pour violoncelle et piano nº 1
    • Sonate pour violoncelle et piano nº 2
    • Trio pour piano et cordes opus 120
    • Quatuor pour piano et cordes nº 1,
    • Quatuor pour piano et cordes nº 2
    • Quintette pour piano et cordes nº 1
    • Quintette pour piano et cordes nº 2
    • Quatuor à cordes,
    • Élégie Op. 24 pour violoncelle et piano,
    • Sicilienne Op. 78 pour violoncelle et piano.
    • Romance sans parole

Œuvres dans le ballet classique

Un certain nombre de œuvres de Fauré se trouvent dans ces danses classiques, en raison de la beauté de sa musique, et parfois de la caractéristique destinée au théâtre.

  • George Balanchine : Joyaux (créé en 1967) 
Première partie « Emeraudes » : extraits des musiques de scène Pelléas et Mélisande, op.80 (1898) ainsi que Shylock, op.57 (1889) (Prélude P1 - Fileuse P2 - Sicilienne P3 - Entracte S2 - Épithalame S4 - Nocturne S5 - Finale S6 - Mort de Mélisande P4)
  • Roland Petit : Proust ou les intermittences du cœur (créé en 1974)
Tableau III « Les aubépines » : Ballade, op.19 (1881) Tableau XII « Morel et Saint-Loup ou le combat des anges » : Élegie pour violoncelle et piano, op.24 (1880) ainsi qu'Élegie pour violoncelle et orchestre, op.24 (1896)

Hommages

  • La ville de Paris a donné son nom à un square du 17e arrondissement et au Conservatoire du 5e arrondissement ;
  • Quoique sa maison natale ait disparu, la ville de Pamiers conserve le nom de la rue Gabriel Fauré.
  • Plusieurs collèges et lycées portent son nom (avenue de Choisy dans le 13e arrondissement de Paris, Annecy, Foix).

Bibliographie

  • Notices d’autorité : Système universitaire de documentation • Bibliothèque nationale de France • Fichier d’autorité international virtuel • WorldCat
  • Gabriel Fauré, Correspondance présentée et annotée par J.-M. Nectoux, Paris : Flammarion, 1980
  • Jean-Michel Nectoux, Fauré, Le Seuil (collection Solfèges), Paris 1972 (ISBN 2-02-000253-1) ; Le Seuil (édition augmentée), Paris 1995, 255p. (ISBN 2-02-023488-2)
  • Jean-Michel Nectoux, Gabriel Fauré : Les voix du clair-obscur, Flammarion, Paris 1990, 616p. (ISBN 2-08-066291-0) ; Fayard (édition augmentée), Paris 2008, 850p. (ISBN 978-2-213-63547-7)
  • Michel Faure, Musique et société du Second Empire aux années vingt autour de Saint-Saëns, Fauré, Debussy et Ravel, Paris : Flammarion, 1985
  • Michel Faure, La Nostalgie du XVIIIe siècle chez Fauré, Debussy et Ravel, thèse de doctorat, 1974
  • Marie-Claire Beltrando-Patier, Les Mélodies de G. Fauré, Thèse de doctorat, Université de Strasbourg II, 1978
  • Vladimir Jankélévitch, Gabriel Fauré et l’inexprimable, Paris : Plon, 1974, R/Paris : Presses pocket, 1988 (nouvelle édition augmentée)

Discographie

Parmi les interprètes de ses œuvres, on peut citer :

  • Mélodies : les barytons Charles Panzéra, Gérard Souzay, Bernard Kruysen et Camille Maurane et les sopranos Claire Croiza et Elly Ameling
  • Œuvres pour piano : Vlado Perlemuter, Jean Hubeau, Pierre-Alain Volondat, Jean-Philippe Collard, Jean-Claude Pennetier et Émile Naoumoff
  • Musique symphonique : Michel Plasson a enregistré une intégrale avec l’orchestre du Capitole de Toulouse

Sources: wikipedia.org

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